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"Je n'ai (...) ni rancoeur ni esprit de vengeance et je conçois très bien que les savant ne croient pas en ma découverte, mais je m'élève contre le fait qu'ils refusent de l'expérimenter sans l'avoir essayée."

N. Duffaut - 1991

Norbert Duffaut

En 1957, Norbert Duffaut, chimiste organicien de l'Université de Bordeaux, réalisait un exploit majeur en synthétisant pour la première fois une molécule d'organo-silicié. Après avoir été stabilisée avec de l'acide ascorbique, puis avec de l'acide salicylique, cette molécule a rapidement trouvé sa place en médecine sous le nom de DNR (Duffaut Norbert Remède).

Dès le début de l'année 1958, Duffaut entreprenait d'explorer les multiples utilisations thérapeutiques du DNR, notamment dans le traitement des affections cardio-vasculaires. Les résultats obtenus dans ce domaine furent si révolutionnaires qu'en 1967, l'Académie de Médecine distinguait le docteur G.R. Rager en lui décernant le prestigieux prix J. Levy-Bricker pour ses travaux sur l'utilisation des organo-siliciés en médecine humaine.

La Collaboration entre Loïc Le Ribault et Norbert Duffaut

En 1982, deux chimistes, Norbert Duffaut et Loïc Le Ribault, se rencontrent lors d'une conférence scientifique à Bordeaux. Duffaut, qui s'intéresse depuis longtemps à une molécule synthétisée de silice organique, fait équipe avec Loïc Le Ribault, qui dispose d'un équipement de microanalyse avancé grâce à son laboratoire C.A.R.M.E.. Leur collaboration se concentre rapidement sur les applications thérapeutiques de ces composés organiques de silice.

En travaillant ensemble, Duffaut et Le Ribault parviennent à synthétiser une molécule très efficace dans le traitement des maladies virales, le G4 (également connu sous le nom de DNV), grâce à l'ajout d'hyposulfite de sodium. Pendant près de dix ans, les deux scientifiques rassemblent des preuves de l'efficacité des composés organiques de silice dans le traitement d'une large gamme de maladies. Ils traitent chaque année des centaines de patients, qu'ils soient assistés par des médecins ou non, et cherchent constamment à améliorer leurs préparations.

En 1985, Le Ribault dépose une demande de brevet international pour protéger les applications thérapeutiques du G4 et organise une conférence de presse à Paris en 1986. Malheureusement, les autorités médicales affichent  peu d'intérêt pour cette avancée.

En 1987, Le Ribault informe Jacques Valade, alors ministre français de la recherche et de l'enseignement supérieur, de l'espoir que représente ce produit dans le traitement du sida. Il demande à ce qu'une expérimentation soit rapidement entreprise. Cependant, cette demande reste sans réponse pendant 18 ans.

Loïc Le Ribault
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Après la disparition de Norbert Duffaut, Loïc Le Ribault poursuit ses travaux seul. Jusqu'à présent, les préparations de silicium organique étaient utilisées uniquement en usage externe et nécessitaient l'ajout de petites quantités de produits allopathiques et homéopathiques pour être efficaces. Cependant, ces produits présentaient des problèmes tels que leur conservation limitée en raison de leur instabilité moléculaire.

En 1994, Loïc Le Ribault met au point une nouvelle molécule qui n'exige pas l'ajout de médicaments pour renforcer son efficacité. Cette molécule reste stable dans le temps et peut être administrée par voie orale. Elle présente une toxicité équivalente à celle de l'eau. Le Ribault explique que cette molécule de silicium organique est instable à l'échelle atomique, ce qui signifie qu'elle se réorganise en permanence grâce à son fort pouvoir oscillatoire. La stabilisation de cette molécule éphémère marque un progrès majeur.

Une autre avancée significative réside dans la grande pureté de cette molécule, car Loïc Le Ribault a réussi à obtenir une molécule totalement organique et non contaminée par d'autres composés. Ce produit est appelé Silicium Organique de 5ème génération (G5).

Le monomethylsilanetriol, stabilisé grâce à la formule de Loïc Le Ribault, a démontré son efficacité thérapeutique. En revanche, l'acide silicique, bien qu'assimilable théoriquement, a tendance à polymériser facilement, ce qui le rend inactif, voire nocif pour l'organisme. Le Ribault a alors découvert une méthode pour stabiliser l'acide silicique en utilisant un composé organique, permettant ainsi à la molécule d'être parfaitement assimilée et ne comporter aucun risque pour la santé. Ce qui a conduit à la création du "Siliplant" en 2006

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